lundi 26 novembre 2018

les bouliers


Bouliers compteurs
Bouliers numérateurs ?
L’énigme du boulier Montcellien



Boulier Pape-Carpantier (collection musée)

Qui pourra donner l’explication ?

Le boulier inventé par Marie Pape-Carpantier doit  comporter à sa partie supérieure, 2 tringles horizontales de 15 boules chacune. Le boulier que possède le musée comporte bien 2 tringles, la première en haut, de 14 boules, la seconde en bas de 12 boules…
Il y a deux hypothèses possibles :


mercredi 14 novembre 2018

Anfré Fuet


Hommage à André Fuet



Un grand défenseur de l’école

Né à Sanvignes (aux Baudras) début janvier 1938, André Fuet, ami du musée de la Maison d’Ecole, nous a quittés brutalement en juin dernier. Un dernier hommage lui a été rendu ce samedi 10 novembre, au cimetière de Sanvignes, par une délégation des Délégués Départementaux de l’Education Nationale, en présence de son épouse Marie-Josette. Son engagement, au service de la jeunesse, de la laïcité et de l’école publique, a été évoqué à cette occasion.

mercredi 7 novembre 2018

Les derniers poilus





« Les derniers poilus du Bassin minier »
Interviews effectuées par les élèves de Mme Gillot 
Directrice de l'école de Sanvignes en 1977 
(Textes intégraux)

Témoignage de Georges Coquelu, 1977
« Au Bois d’Ailly, on marchait dans le sang… »



« Georges Coquelu est né le 7 octobre 1885 à Digoin. Il fut maître imprimeur à Montceau-les-Mines et réside au-dessus de ses ateliers, rue Carnot. Âgé de 93 ans en 1977, il a conservé une lucidité objective, intacte et lorsqu’on lui parle de 14-18, la flamme du souvenir brille avec intensité dans ses yeux, derrière ses lunettes. »


mercredi 31 octobre 2018

La correspondance d'un poilu



L’exposition  itinérante  du musée
« De l’école aux tranchées »
(Fonds Moutardier, Chaînard, Bataillons scolaires)
à l’Embarcadère de Montceau
Du 3 au 11 novembre 2018
Inauguration le 3 novembre à 18 heures 30



Les archives Moutardier

On peut s’étonner, à la lecture de la correspondance de Paul Constant Moutardier et à celle des personnes qui lui écrivent, de la somme de bonnes nouvelles qu’elles contiennent : aucun problème grave, aucune allusion aux combats. On peut supposer que Paul, comme la plupart de ses camarades sûrement, ne voulait pas alarmer sa famille en se plaignant de ses conditions de vie. Il suffit d’ailleurs, pour s’en convaincre, de constater le paradoxe qui sépare ses notes personnelles de ses correspondances.

Toute la correspondance de Paul Constant Moutardier est dans cet article
(originaux en fin d'article)


vendredi 26 octobre 2018

L'école en Algérie



Mon école en Algérie
Souvenirs de Jeannine  Fréty






    « Je suis née en 1944 à Cap Matifou, petite ville tout près d’Alger, dans la villa même qui alors servait d’école au lieu-dit La Pérouse. Mon père était officier au centre de formation de la Marine, le Centre Sirocco. Ma mère a ensuite enseigné dans l’enceinte du Centre aux enfants du personnel. C’était, bien sûr une classe unique mixte dans laquelle j’ai pu bénéficier d’un apprentissage précoce qui m’a permis d’être très en avance tout au long de ma scolarité. »



vendredi 19 octobre 2018

Ecole Normale de Mâcon




Costumes des

Normaliens et normaliennes de Mâcon
Depuis 1848
Par Pierre Colomb et Patrick Pluchot
In « Image de l’Ecole », CD-ROM du musée de la Maison d’Ecole à Montceau-les-Mines, 1998
Article du bulletin n°25 de l’A.V.N.P.71, 2017-2018

In Centenaire de la Société Amicale, 1984

Les Hussards noirs de la République

Avant de devenir les représentants intègres de la République chers à Péguy, les instituteurs devaient passer trois ans à l’Ecole Normale de leur département où leur était inculqué le sens du devoir et de la mission émancipatrice qui les attendait. Un uniforme strict leur fut imposé et ce, jusqu’après la Première Guerre mondiale.

vendredi 12 octobre 2018

La morale avant tout



A l’école de Jules Ferry

« La morale avant tout »

Et ensuite... ?


LOI DU 28 MARS 1882
organisant les écoles primaires élémentaires
Art.1er. – L’instruction primaire comprend :
-       L’instruction morale et civique ;
-       La lecture et l’écriture ;
-       La langue et les éléments de la littérature française…
A l’éducation religieuse, supprimée par cette loi, dans les écoles primaires publiques, les républicains cherchaient à substituer une morale laïque, républicaine et patriotique. Cinq ans plus tard, les instructions de 1887 donneront toutes précisions sur le but et les caractères de cet enseignement moral.


samedi 6 octobre 2018

L'exposition itinérante "De l'école aux tranchées" c'est parti !



Exposition itinérante
« De l’école aux tranchées »
Premier succès à Saint-Vallier



Les bénévoles : à l’installation, à l’accueil des groupes, au guidage des visiteurs… et au démontage.

Près de 300 visiteurs en une semaine

2018 : dernière ligne droite dans la commémoration du Centenaire de la Grande Guerre. Le public scolaire plébiscite toujours l’action du musée avec ses 3 expositions labellisées par le Comité National du Centenaire depuis 2014. Cette « piqûre de rappel » des deux précédentes expositions avant l’inauguration de la dernière le 11 novembre 2018 (« 1918 : l’espoir d’une paix universelle ! Période 1918-1939 ») a été visitée par 14 classes de la ville (155 élèves et maîtres d’élémentaire, 125 élèves et professeurs du collège Copernic), ainsi que par le grand public. 




mardi 2 octobre 2018

2018 : dernière année de Commémoration du Centenaire de la Grande Guerre. Chronique N°7



« Les Instits du Centenaire ! »
Les normaliens mobilisés
Hommage aux promotions de la guerre


Assemblée Générale extraordinaire de l’AVNP71, hommage aux normaliens morts pour la France, ESPE Mâcon, 13 juin 2017 (photo Yves Miniau, http://aaeenm.over-blog.com/)

PREAMBULE

Les élèves et les anciens élèves de l’Ecole Normale de Mâcon ont payé un lourd tribut et notamment les promotions de 1897 à 1915 qui furent véritablement décimées (les plus touchées : la promotion 1906-1909 : 10 tués sur 29 élèves et la promotion 1912-1915 : 12 tués sur 30 élèves). La promotion la plus âgée appelée fut la 1887/190 (les membres avaient 45 ans ou moins en 1914, âge maximum pour le service actif).
Le 1er septembre 1921, on apposa une plaque commémorative dans le hall d’entrée de l’Ecole Normale. Elle comporte 102 noms, à l’issue de nos recherches dans le Livre d’Or des instituteurs tués en 14/18, nous avons décidé d’y associer les noms des 27 instituteurs, morts pour la France eux-aussi, et qui ne figurent pas sur cette plaque pour diverses raisons (maîtres issues d’autres Ecoles Normales, maîtres n’étant pas passés par une Ecole Normale ou tout simplement des maîtres décédés après 1921 des suites de leurs blessures de guerre).

Exposition itinérante « Des bataillons scolaires aux tranchées »
Médiathèque de Blanzy du 06/10 au 14/10
Mairie de Tournus du 16/10 au 23/10
Embarcadère à Montceau du 03/11 au 11/11 (exposition complète)